Je n’ai pas testé pour vous, ni pour moi, le préliminaire de ce 5ème épisode de la saga Metal Gear Solid qui contre toute attente offre une copie qui est loin d’être accomplie … lol ! Mais à l’époque d’Internet est-il encore besoin d’acheter les jeux et les consoles pour parler de ces jeux en question ? Bien sûr que non, - et re lol -, il y a les autres qui écrivent et jouent et dépensent de l’argent, il y a les communiqués de presse et bien sûr il y a les résumés d’articles, le plagiat, les dictionnaires de synonymes et mon document Word avec douze pages de tests résumés, condensés puis plagiées avec mon talent. Donc je me lance, 5% du contenu initial et ma touche, à la louche 23 % de moi.

Avec Metal Gear Solid V : Ground Zeroes nouveau non-jeu et non-démo, vous aurez droit à de l’étranglement de cibles en restant discret, du rail-shooting peu captivant, de la moisson d'informations, de la ruine d'objectifs, ainsi qu'à une mission spécifique suivant votre support de jeu, PS4 ou One.

S’attaquer à Metal Gear Solid V : Ground Zeroes lorsque l’on est fan de la saga, c’est un peu semblable que d’embarquer dans une voiture de luxe, enfoncer le contact et ne pas avoir le droit de faire autre chose que de faire bourdonner le propulseur. Mais Kojima Productions n'a visiblement pas achevé de jouer avec l’assiduité de ses loyalistes : en fait de jeu, Metal Gear Solid 5 Ground Zeroes n'est qu'un hors-d’œuvre, un prélude destiné à sustenter la fanbase, tout juste ce qu'il faut pour lui octroyer le désir de passer à table avec le véridique cinquième épisode, prévu l'an prochain. Reste que l'aura de la série irradie toujours derrière l’insatisfaction d'un contenu trop avare, preuve aussi que Ground Zeroes n'est pas totalement passé à côté de son sujet, et qu'au bout du compte, l'envie de dénicher Metal Gear Solid V sort sensiblement raffermi de ces deux heures de flânerie militaire. La distinction de certaines textures comme le tissu des habits ou la barbe de Snake dont on distingue nettement le moindre poil, marquent incontestablement le coup, mais ardu pour autant de parler de vraie gifle graphique. Inopportunément, on ne peut s’empêcher de spéculer que le jeu, vendu une trentaine d’euros et 20 € en dématérialisé sur 360 et PS3, jouit de d’une durée de vie exagérée grâce à des missions accessoires ressemblant furieusement à de la démo de gameplay, dont le bizarre but est de faire passer la dragée. Loin d'être un chenal obligatoire vu la taille de la base, ces moyens de transbordement permettent de s'infiltrer en gouvernant astucieusement, de s'échapper rondement, ou encore de foutre un bordel monstre aux commandes d'un blindé. Cela peut poindre comme peu, et c'est effectivement le cas, mais Konami a pensé aux adeptes de scoring et aux enthousiastes des 100% puisque le titre fourmille de défis et de compétitions, que les autres castes de joueurs n'auront pas nécessairement envie de parfaire.

Quoi de plus amusant que de s'amuser à singer le travail des autres ? Et qui a parlé de travail ? Et puis j'ai travaillé à synonymiser les mots ; j'ai fais du collage ; le collage est un art ; cet article est de l'art !
Quoi de plus amusant que de s'amuser à singer le travail des autres ? Et qui a parlé de travail ? Et puis j'ai travaillé à synonymiser les mots ; j'ai fais du collage ; le collage est un art ; cet article est de l'art !
Quoi de plus amusant que de s'amuser à singer le travail des autres ? Et qui a parlé de travail ? Et puis j'ai travaillé à synonymiser les mots ; j'ai fais du collage ; le collage est un art ; cet article est de l'art !

Quoi de plus amusant que de s'amuser à singer le travail des autres ? Et qui a parlé de travail ? Et puis j'ai travaillé à synonymiser les mots ; j'ai fais du collage ; le collage est un art ; cet article est de l'art !

Retour à l'accueil