Comment Nostradamus a prédit les #JeuxVidéo .Enfin non, pas vraiment.
02 oct. 2015Je crois que ma dernière critique réelle d’un jeu vidéo, c’était celle de Brothers : A tales of two sons, un jeu que je n’avais pas aimé du tout. Autant dire qu’elle remonte à un autre temps, une autre époque. J’étais alors un autre homme, les jeux vidéo étaient un autre loisir et le monde était différent. C’est en tout cas ce que j’ai envie de croire.
Aujourd’hui, un an et demi après je fais mon énième come-back avec l’envie de bloguer sur les jeux vidéo. Mais je reviens encombré du sentiment de ne pas être légitime. Précédemment, à l’époque de ma dernière critique, je me sentais plus légitime pour parler parce que j’arrivais presque à suivre l’actualité du jeu vidéo. Mais l’avènement de la génération PS4 a très clairement déclassé les gens comme moi qui n’ont pas encore franchi le cap de la nouvelle next gen. J’ai été dépassé parce que j’ai refusé de payer pour continuer de jouer à la mode du moment. Je suis sûr d’ailleurs que je pourrais gloser un gros article sur cette question ; non pas payer pour jouer, mais payer pour rester à la mode, payer pour rester à la surface de la vague.
Du coup avec ma PS3 et mes jeux sur Facebook, je ne me sens pas la légitimité de parler sur les jeux vidéo. Pourtant, paradoxalement, l’envie est encore là. Je ne sais pas ce qui motive les autres blogueurs. Moi au travers de cet espace d’expression, je cours toujours après la même chose, réussir à avoir un regard « intéressant » qui soit agréable à lire et secrètement tisser la mailles de la culture vidéoludique. Intéresser c’est donc mon premier obstacle, et cela à deux niveaux ; d’une part il faut avoir de la pertinence, je veux éprouver la sensation que mes écrits apportent une plus-value à la masse des choses qui ont été dites et d’autre part que le lecteur est un intérêt à me lire, c'est-à-dire lui parler d’une chose qui potentiellement l’intéresse. L’autre obstacle (qui n’en est pas vraiment un en fait) c’est d’avoir une plume, une prose, un style qui me ressemble et qui soit plaisant à lire. C’est plus une exigence de ma part qu’un véritable obstacle. Mais être pertinent, trouver un angle d’approche, une lecture, une vision intéressante et fluide c’est ce qui me motive et ce qui me retient parce que en jouant à un jeu, je ne trouve pas toujours cet angle. Et aussi parce que, lorsque je l’ai trouvé, je n’ai parfois plus le courage de la rédiger (ah ma critique de Enslaved dans les cartons depuis quatre ans …).
[...] si j’écris ici, sur CE blog, c'est que j’ai envie de me sentir appartenir au bouzin et pour cela j’ai envie d’avoir des réactions.
Manquant d’inspiration pour la phrase d’accroche, le titre de cet article a été généré automatiquement par Portent’s Content Idea Generator puis retraduit vers le français par Google translate parce que je suis un vrai geek et ensuite reformulé par mes soins. Tout cela parce que je suis nul en titre et phrases d'accorches. Nul en titre, nul en conclusion, heureusement qu'il y a le corps du texte pour me laisser m'exprimer.