Onechanbara Z2 : Chaos la critique d'un beat'em all mammaire sur PS4 (ceci est un titre racoleur, un peu comme le jeu)
18 sept. 2017Pendant que les joueurs avertis, qui en valent bien deux comme moi, se lançaient dans de vrais jeux vidéo, un de ces jeux avec paysages grandioses, actions fidèlement assaisonnée, émotions assurées et plaisir du gameplay à outrance, je sortais Onechanbara Z2 : Chaos de mon étagère et je mettais la galette dans ma PS4. Après plusieurs heures passées sur ce jeu dont une partie pour terminer deux fois le mode histoire je crois que je suis en position de légitimité pour parler de ce jeu acheté parce qu’il était soldé et parce que sur la jaquette il y a des femmes aussi courtement vêtues qu’elles sont surarmées.
Je vais essayer d’être pragmatique et présenter Onechanbara Z2 : Chaos en disant que ce titre est un beat’m all (ou un hack’n slash selon vos goûts en matière de vocabulaire et selon vos manières pour démembrer du zombi) débridé dans lequel une bande de jeunes femmes qui sont un quart vampire, un quart démon et à moitié humaines affronte des hordes de zombis et autres ennemis vaguement exotique. Le jeu disponible sur PS4 depuis 2015 mais qui est le petit dernier d’une longue série de jeux tirés du même univers et qui se perpétuent depuis la Playstation 2. Ces présentations sommaires étant finies je vais pouvoir entrer dans le vif du sujet et commencer par vous énumérer les plus gros défauts de ce jeu qui a semble avoir tous les atouts pour être un vrai jeu de série B.
Ce qui frappe immédiatement le joueur lorsqu’il lance se jeu ce sont les graphismes de Onechanbara Z2 : Chaos. Autant le dire tout de suite, ils ne sont pas étourdissant de beauté. Ca serait même plutôt le contraire, en fait Onechanbara Z2 : Chaos frappe le joueur par la pauvreté abyssale de ses graphismes. Avant même de pouvoir dire si l’on trouve les graphismes moches ou seulement disgracieux, c’est la pauvreté des décors qui est marquante ; cela va jusqu’à proposer des niveaux dont le décor se résume à un sol rouge vaguement vaporeux et un fond noir. C’est tout. A part cela, rien. Nada. Zéro. Un gouffre abyssal. Et lorsque l’on trouve un niveau où le regard peut s’attarder à dépiauter des décors nous découvrons des textures pauvres collées sur des formes grossièrement taillées à la serpe. Et à ce moment là nous sommes alors en mesure de dire que le jeu est moche. Pauvre et moche et faible techniquement c’est un sacré combo de handicapes. Si nous étions sur PS3 nous trouverions déjà le jeu moche, et même sur PS2, sur de la PS2 au sommet de son art nous pourrions encore trouver le jeu hideux. Et encore je n’ai parlé que des décors ; le bestiaire à base de zombis et de quelques monstres n’est guère plus satisfaisant pour le regard. Les zombis sont ternes et mal texturés dans leur silhouette grossièrement modélisée mais je peux entendre l’idée selon laquelle c’est plutôt cohérent avec leur nature de morts vivants. Et ce n’est pas que in game que le jeu est moche, les écrans de chargement ainsi que les menus sont eux aussi d’une laideur remarquable.
Onechanbara Z2 : Chaos est un jeu qui ne brille pas par ses graphismes. Non, vraiment pas, c'est à mon sens indigne de la PS4. Bien sûr les effets visuels visent à camoufler le néant mais ça reste pauvre. Mais au moins c'est gore !
Il faut malgré tout faire une exception à cette bérézina des graphismes en ce qui concerne les bosses. Ce sont les personnages les plus réussis. Pouvant être de tailles variables allant d’honorable à vachement balaise, ils semblent avoir été designés avec plus de soin et exécutés avec plus d’inspiration que le reste du jeu. Et comme le jeu à la bonne idée de nous faire faire un peu de boss rush on a l’occasion de croiser plusieurs fois ces ennemis réalisés avec un peu plus de sens esthétique. Il faudrait peut-être aussi faire un exception graphique pour les héroïnes mais je crois que je vais faire une exception à ma première exception et traiter du visuelle des demoiselles plus tard.
Donc la première fois que frappe c’est le visuel raté du jeu. L’autre défaut qui se révèle rapidement c’est l’inanité du scénario. Mais vais être honnête avec vous, le jeu est en anglais ce qui fait déjà un premier obstacle à mon immersion dans le scénario. Et ensuite il faut savoir que la majorité des scènes qui font avancer l’histoire se trouvent entre les chapitres. Elles se résument à des écrans fixes divisés en autant de cases qu’il y a d’héroïnes dont les visages sont affichés en gros plan avec la case de la personne qui parle légèrement en surbrillance. C’est moche, c’est inintéressant et on peut zapper la scène en appuyant sur START, du coup j’ai vite abandonné l’envie de suivre l’histoire. Mais j’ai quand même compris que deux héroïnes sont des demi-vampires, et deux autres sont des sœurs humaines. Il y a une méchante reine des vampires qui fout le bordel et finalement les quatre filles se retrouvent à coopérer pour tuer la reine des vampires. De la série B qui lorgne vers le Z qui lorgne vers le néant. Il n’est donc pas question de jouer à Onechanbara Z2 : Chaos pour son histoire et sa narration asthmatique.
Je résume, nous sommes donc en présence d’un jeu dont l’intérêt ne peut pas être visuel parce que le jeu fais preuve d’une pauvreté esthétique rarement atteinte avant sur Playstation 4 et qui ne peut pas être non plus narratif parce que le jeu repose sur une histoire navrante racontée avec peine. J’aurai pu vous parler de l’OST de Onechanbara Z2 : Chaos mais les musiques ne sont pas assez mauvaises pour m’avoir marqué et elles ne sont pas assez bonnes pour m’avoir marqué. J’aurai pu aussi évoquer l’absence cruelle d’un level design intéressant ; le jeu est un enchaînement de zones de couloirs (qu’ils soient visibles ou invisibles) et de zones plus larges tenant lieu d’arènes. Mais je n’ai pas grand-chose à dire sur le sujet, d’une part parce que justement le level design est réduit à son minium mais d’autre part c’est un type de défaut inhérent à ce genre de jeu donc il n’y a pas grand-chose à en dire. Il ne reste donc plus qu’une seule chose qui puisse sauver le jeu du naufrage c’est son gameplay ce qui tombe bien pour deux raisons, la première c’est que dans un beat’m all le gameplay est essentiel et aussi parce que c’est le point que j’avais prévu de traiter maintenant.
Je me suis donc débarrassé des points outrageusement négatifs du jeu. Mais si j’ai passé plusieurs heures à parcourir et à terminer Onechanbara Z2 : Chaos qui au passage se termine très rapidement, c’est que le titre n’a sûrement pas que des défauts. Justement je trouve que le gameplay du jeu est plutôt réussi. Je vais essayer d’être honnête et objectif. Le gameplay n’a rien d’innovant ou d’inventif, il se contente de réunir et de réutiliser des mécaniques devenues classiques dans le beat’em all. Il faut simplement reconnaître qu’il le fait très bien. Je vais malgré tout avoir une remarque négative mais elle n’est pas spécifique à ce titre précisément, je l’adresse à tous les beat’em all récents auxquels j’ai pu jouer. Je regrette, mais alors beaucoup, de devoir commencer la partie avec une palette de coup limitée avant de pouvoir l’élargir en achetant différent coup au fil du jeu. Le rendu d’expérience que l’on peut avoir après avoir débloqué la plus part des coups et celle que l’on peut avoir en début de jeu ne sont pas les mêmes. Et cela toujours dans le même sens, c'est-à-dire que le jeu gagne en profondeur, fluidité et qualité à mesure que l’on approche de la plénitude des personnages. Effectivement Onechanbara Z2 : Chaos n’échappe pas à ce défaut, c’est dommage.
Heureusement qu'au milieu de cette grande pauvreté graphique Onechanbara Z2 : Chaos propose des bosses plutôt réussi en terme de visuel. Des bosses qui s'achèvent avec des QTE
Le cœur du système c’est donc un bouton d’action pour les coups légers, un bouton pour les coups forts, un bouton de saut et un bouton pour l’arme secondaire. A partir de cela on alterne pour réaliser des combos qui deviennent de plus en plus longs et dévastateurs. Oui, ça c’est la base. Il faut avoir à l’esprit que l’on joue une bande de quatre jeunes femmes et que l’on peut inter changer très facilement les personnages que ce soit au milieu d’un niveau mais surtout au milieu d’un combo. Ensuite il faut garder à l’esprit que chaque personne possède deux armes principales que l’on peut switcher elles autres très facilement au milieu d’un combo et d’une arme secondaire. Nous avons donc quatre personnages possédant chacune trois armes ce qui offre de belles perspectives de bastonnage. En plus les armes et les manières de se battre des filles sont assez différentes les unes des autres, le sabre, la tronçonneuse, les poings, les armes de jet, etc. ce qui permet de varier les plaisirs. Surtout que je me répète mais les coups sortent très facilement et inter changer les armes ou les personnages se fait aussi avec beaucoup de fluidité. Voilà, ça c’est la base, à laquelle vient s’ajouter quelques subtilités propres au beat’em all. Lorsqu’un personnage inflige des dégâts cela fait monter une jauge de pouvoirs spéciaux et une jauge de fury. Et bien évidemment lorsque cette jauge est pleine on peut se transformer en demi-vampire démoniaque à l’allure encore plus racoleuse et aux coups encore plus dévastateurs. Mais ce n’est pas la seule jauge à monter, au bout d’un certain temps les personnages qui sont hors champ deviennent disponible pour être invoqués ; et si vous appuyez sur le pavé tactile lorsque vos trois coéquipières sont prêtes alors elles débarquent sur le champ de bataille avec vous pour massacrer tout le monde. Et à ce moment là, le terme chaos présent dans le titre du jeu prend tout son sens. Ça devient un bordel sans nom à l’écran et heureusement que les compteurs de kills et de hits sont là pour vous signifier que vous êtes bien en train de frapper quelqu’un. Si vous vous débrouillez bien pour charger la barre de fury de chacune des filles avant de les invoquer et que vous déclenchez les quatre fury en même temps et si vous utilisez le lock pour cibler un seul ennemi et concentrer vos forces dessus je peux vous dire que les bosses ne feront pas long feu, même en hard.
Et c’est bien là tout le sel d’un jeu comme Onechanbara Z2 : Chaos, il permet au joueur de plonger dans une boucherie sans égale, aussi jubilatoire que grandguignolesque. Et franche c’est parfois agréable et même grisant d’avoir entre les mains un jeu qui offre ce genre d’expérience bourrine à souhaite, primitive et joyeuse. Lorsque l’écran est saturé de gerbes de sang numérique, d’effets de visuels qui accompagnent vos coups, de corps de zombis décapités ou tranchés en deux de manière longitudinale on se moque bien que le jeu soit moche et les décors désertiques (au sens propre comme au figuré) parce que l’on ne voit plus rien et que seul subsiste le sentiment de défouloir régressif qu’offre le jeu.
Personnellement dans ces moments là j’ai remercié Onechanbara Z2 : Chaos d’être un jeu déculpabilisant. Je m’explique, c’est un jeu dans lequel il n’est pas nécessaire de rentrer pour apprécier ce qu’il offre. Les vrais jeux que j’évoquais dans l’introduction, ceux qui reposent sur une production triple A qui mise sur l’éclat du visuel, ou sur l’émotion d’une narration nécessite que l’on s’abandonne à eux comme on le ferait avec un bon film ou un bon livre. Cela demande que l’on soit disposé à entrer dans le jeu en lui accordant une attention à la hauteur de ses ambitions. Mais un jeu comme Onechanbara Z2 : Chaos qui se donne sans prétention aux joueurs, permet à ces mêmes joueurs de s’y adonner sans culpabiliser de ne pas avoir la bonne attention. C’est peut-être là un défaut ou une névrose dont je suis le seul à souffrir, la sensation de percevoir le poids de certains jeux comme un handicap parce que ces jeux là semble exiger de moi une part d’attention et d’implication que je ne possède pas forcément au moment où j’ai juste envie de jouer. Du coup je prends énormément de plaisir avec les jeux sans prétentions et sans exigences, les jeux qui se donnent à jouer comme ils sont, avec leurs défauts outranciers et leurs ambitions limités. Ce sont des jeux qui me permettent de jouer tout en continuant de réfléchir et de penser à autre chose qu’eux.
Onechanbara Z2 : Chaos est donc un exutoire un peu primaire mais rôdé basé sur une mécanique de gameplay bien pensée et fluide. D’ailleurs le jeu donne la pleine mesure de son aspect jubilatoire et défouloir non pas dans le mode histoire qui mets en scènes des combats un peu trop petit bras à mon goût mais plutôt dans le mode mission dont chaque mission vise principalement à explorer la substantifique moelle d’un aspect du gameplay. C’est dans ce genre de mission que les compteurs de hits et kills s’affolent ajoutant une couche de jubilation au plaisir que l’on prend manette en main. D’ailleurs quand je vois ce type de conteurs dans un jeu pour quantifier les morts infligées je ne peux pas m’empêcher de penser à la scène de Hot Shot 2 et son compteur de mort. Bref, lorsque j’ai pris conscience que Onechanbara Z2 : Chaos est un jeu moche, d’une pauvreté visuelle remarquable, que c’est aussi un jeu idiot à la narration minimaliste mais que c’est pourtant un jeu qui offre un vrai plaisir au joueur je me suis demandé s’il n’y avait pas quelque chose d’essentiel dans ce titre. J’ai commencé à me dire que dans ce titre expurgé de certains artifices modernes du jeu vidéo nous avions peut-être une évocation de ce qui fait l’essence d’un type de jeu.
J'espère que tout le monde connait et se souvient de ce film, et si ce n'est pas le cas débrouillez vite pour rattraper cette lacune
En premier image la misère esthétique des scènes qui font avancer le "scénario" et ensuite la pauvreté des menus …
Et de là il n’y avait plus qu’un tout petit pas à faire pour franchir la limite du jeu vidéo et commencer à dresser une sorte de parallèle entre les artistes modernes qui ont poussé la peinture vers les retranchements du monochrome et les beat’em all comme Onechanbara Z2 : Chaos qui poussent leurs jeux vers un concept dont on pourrait croire qu’il vise à définir une essence du jeu vidéo. Ces artistes plasticiens ont essayé de repousser les limites de la peinture pour découvrir, ou démontrer, ce qui selon eux faisait l’essence de la peinture. Ils ont ainsi retiré le trait illustratif de la peinture parce que selon eux il s’apparentait plus au dessin qu’à la peinture et ils ont aussi retiré le travail de la couleur qui pouvait selon eux dévoyer la peinture en cherchant trop facilement la joliesse. En retirant de l’équation vidéo ludique le graphisme et le scénario est-ce que Onechanbara Z2 : Chaos ne pourrait pas incarner une proposition radicale et éclairée qui pourrait parler du jeu vidéo et faisant du jeu vidéo ?
J’aurai très envie de croire que cette intuition qui m’est venue en jouant à Onechanbara Z2 : Chaos est exacte. Je voudrais penser que cette idée peut venir soutenir un jeu qui sous des aspects extérieurs assez décevant se révèle pourtant être une bonne surprise parce que l’essentiel est là. Le gameplay est là, pas révolutionnaire, pas innovant, mais terriblement bien agencé afin d’offrir au joueur quelque chose de jouissif. Mais j’ai peur que cette pensée ne soit que de la poudre jetée à mes yeux par mon cerveau pour me faire oublier que j’ai passé du temps sur un jeu médiocre. Mais médiocre ou pas je me suis vraiment amusé et je suis sûr que les amateurs du genre sauront eux aussi s’amuser avec Onechanbara Z2 : Chaos parce que le jeu ne déçoit pas ceux qui savent où chercher les qualités en lui.
Vous remarquerez que j’ai quasiment rédigé ma critique sans évoquer un point qui, sans être essentiel à la perception du jeu, est néanmoins un point majeur de la perception que l’on a de ce titre. Je veux parler de l’aspect racoleur et putassier de Onechanbara Z2 : Chaos. Impossible d’en douter en découvrant nos héroïnes, le jeu flirt allégrement et volontairement avec une dimension érotico trash incarnée par nos héroïnes aux tenues typées fantasmes japonais du style la guerrière à forte poitrine se battant en bikini et la sage écolière aux grands yeux tristes qui laisse apercevoir sa petite culotte lorsqu’elle se bat dans sa robe noire. Le jeu ne cache pas son attrait pour un goût douteux et des mœurs légères, notamment dans les séquences de QTE qui permettent d’achever les bosses et dans lesquelles les personnages adoptent des postures très équivoque. Pour le peu de ce que j’ai suivi du scénario j’ai cru comprendre que le jeu, dans un élan d’ironie, s’amuse a justifier que les héroïnes soient si peu vêtues en expliquant que pour réveiller leurs côtés vampiriques elles doivent avoir le maximum de peau en contact avec le sang des ennemis. Clairement s’il doit y avoir un grand perdant dans Onechanbara Z2 : Chaos, c’est le bon goût qui se fait trucider à tous les coins de niveaux. Si le jeu est plutôt facile et si on y revient aussi assez facilement c’est qu’en plus de prendre du plaisir manette en main, on se prend aussi facilement au jeu de pouvoir débloquer des accessoires et des costumes pour customiser le look des personnages. Et là, le fan service vis-à-vis des hommes de mauvais goûts fonctionne à fond les ballons. Des tenues de plus en plus dénudées et des accessoires de plus en plus idiots (la robe faite de toast par exemple) sont les récompenses des joueurs les plus acharnés. Et j’ai même découverts en cherchant des illustrations pour cet article qu’il y avait eu une édition collector de Onechanbara Z2 : Chaos dont l’un des goodies était un code permettant de télécharger le costume banana split … un costume dans lequel les héroïnes se battent simplement vêtues de deux fraises pour cacher leurs tétons et d’une banane pour cacher leurs sexe. Je crois qu’une fois que cela a été dit tout a été dit. Et en même temps j’ai malgré tout envie de pondérer tout cela parce que si sur le papier cette dimension érotico trash peut sembler importante et peut-être même choquante à certaines personnes. Une fois dans le jeu on oubli très vite le visuel des personnages tout simplement parce que l’action nerveuse, la caméra brouillonne et le rendu chaotique des scènes d’action ne permet pas de reluquer les demoiselles.
Mais que cela ne m’empêche pas de conclure, je ne connaissais pas Onechanbara Z2 : Chaos, je l’ai acheté parce qu’il n’était pas cher et que sa couverture était légèrement racoleuse. J’ai joué et j’ai découverts un beat’em all à la pauvreté graphique ridicule, au scénario lamentable mais qui offre un plaisir de gameplay très jouissif. C’est pourquoi je donne un avis positif, une critique avec pouce bleu ou pouce vert, et que je dis oui.
Oui Onechanbara Z2 : Chaos est un bon jeu parce qu’il offre de bons moments.
Tout est dit cette fois.
Même sur les photos je ne trouve pas le design du jeu franchement bandant (et oui j’assume ce très mauvais jeu de mot)