Et voilà. C'est fait. La nuit dernière j'ai terminé Final Fantasy XIII-2 ; une semaine et une petite trentaine d'heures de jeu pour boucler la trame principale de Final Fantasy XIII-2 le temps est maintenant à la rédaction d'un article pour partager les critiques et les réflexions qui me sont venues en jouant et ainsi boucler ma chronique de joueur autour de cette expérience Final Fantasy XIII-2. La chose la plus évidente c'est que je suis bien nettement moins enthousiaste qu'après la fin de FF XIII. Le jeu est pourtant réussi et ne manque pas de qualité ; déjà des qualités esthétiques avec des graphismes qui sont peut-être inégaux mais qui touchent parfois au sublime, la beauté de certains décors est à couper le souffle. J'aime particulièrement les environnements urbains des différentes époques d'Académia, les décors en plein air sont plutôt jolis aussi mais ils souffrent d'un mal déjà présent dans FF XIII ils sont un peu vide, une impression de vide renforcée par le fait que les ennemis n'apparaissent qu'au dernier moment quand ils sont sur le point de vous attaquer du coup les plaines semblent bien déserte, FF XIII avait au moins cet avantage de laisser batifoler les monstres en plein air et ceux qui n'ont pas eu la chance de traverser les plaines du Gran Pulse de FF XIII grouillantes de vie - quel frisson de croiser une meute de loups traverser devant vous - ne peuvent pas réaliser à quel point les décors de Final Fantasy XIII-2 peuvent sembler creux. Il y a aussi d'indéniables qualités esthétiques musicales. Le jeu brasse tout un tas d'influences éclectiques de la pop sirupeuse aux morceaux hard un peu déglingué - le morceau qui accompagne les chevauchées sur les chocobos mutant est assez jubilatoire mais j'aime encore plus le morceau des chocobos naturel - certes vu qu'on passe d'un genre à l'autre je suppose que certains trouverons à redire parce qu'ils n'aime pas tel ou tel style ou parce que ça manque de cohérence mais il en va des musiques du jeu comme des décors il y en a certaines qui sont sublimes alors que d'autres plutôt réplétives font plaisirs quand elles s'arrêtent.

 

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Le jeu possède aussi des qualités héritées de FF XIII à savoir un game play bien rodé. Bon, comme toutes choses on peut en discuter, Final Fantasy XIII-2 conserve le système de classe de personnage que l'on peut améliorer et le système de stratégies avec lesquelles on peut switcher en plein combat. Pour ça rien à dire, si on peut apprécier la possibilité dans d'affiner ses stratégie en choisissant qu’elles se concentrent sur un ennemis, ou plutôt en attaque de zone ou plutôt normale. A ce sujet vous vous rappelez peut être que je disais - comme Margoth l'avait soulignée elle aussi - que les combats de FF XIII bénéficiaient d'une mise en scène nerveux dégageant une impression de puissance bluffante. En paramétrant vos stratégies en attaques de zone les combats de Final Fantasy XIII-2 sont encore plus impressionnants, encore plus nerveux et parfois encore moins lisibles. Mais tout ceci n'est que détail, pour en revenir au game play on peut discuter sur deux points. Le premier c'est qu'ici on ne joue qu'avec deux personnages, les deux héros du départ sont ceux qui vont sauver le monde, qui dit seulement deux personnage dis moins de possibilité d'établir des stratégies différentes mais ce détail m'amène au second point sur lequel on peut discuter le game play c'est que le jeu est facile ; je veux dire les combats à mener dans le jeu sont faciles, très faciles, trop faciles. Il n'est alors pas nécessaire d'avoir élaboré une stratégie fine et complexe pour espérer vaincre, attaque furieuse vous sortira rapidement de la grande majorité des combats. Final Fantasy XIII-2 s'appuie donc sur un game play rodé mais l'ampute quelque peu de sa finesse. Mais il lui adjoint une petite nouveauté celle de pouvoir adjoindre un monstre à votre duo pour former un trio. Les ennemis vaincu peuvent être domptés et ensuite améliorés et ensuite intégrer à votre équipe. Les ennemis possèdent une classe et ne peuvent pas en changer, il vous faudra donc bien choisir votre monstre pour votre équipe. Cet ajout au game play donne à Final Fantasy XIII-2 une petite dimension Pokemon aux joueurs atteins de collectionnisme aigue. Sachez aussi qu'il est possible de faire fusionner des monstres entre eux et vous avez là un pan solide de divertissement supplémentaire.

 

La dernière grosse qualité de Final Fantasy XIII-2 ce n'est pas la moindre c'est le principe même du jeu en lui même qui accorde une grande place à l'exploration. Vous savez que FF XIII a été très décrié parce qu'il était - selon les gens #lesgens - trop rigide et trop rectiligne. Certainement en réponse aux trop nombreux détracteur de FF XIII Square Enix propose ici quelque chose de radicalement ouvert et absolument pas dirigiste et je dois reconnaitre que c'est une qualité. Le scénario de Final Fantasy XIII-2 est construit sur l'idée qu'à la fin des événements de FF XIII une chose se produit et déforme la ligne du temps, passé, présent et futurs sont modifié et c'est à Serah et Noel que revient la responsabilité de sauver le temps et l'Histoire. Final Fantasy XIII-2 repose sur une multitude de petite portion d'espace et de temps qu'il faut explorer. Au sein de chaque morceau d'univers se trouve un ou plusieurs portail permettant d'accéder à d'autre bout d'univers en activant les portails avec des artefacts que vous trouverez le long de votre aventure ; c'est ainsi que petit à petit vous devriez dessiner une expérience de jeu unique. Voilà donc sur le papier le principe en sachant qu'à de nombreuses reprises vos personnages seront en mesure de faire un Libre Choix qui influencera la suite des événements, vous permettant d'obtenir tel ou tel artefacts vous permettant d'explorer tel ou tel morceaux de l'espace temps. Quand on commence le jeu et que l'on découvre ce principe on ne peut s'empêcher d'éprouver un frisson tant les promesses sont belles. Malheureusement dans les faits j'ai trouvé la réalité moins belle que les promesses. D'abord parce que ça confère au jeu une impression de répétitivité qui peut vous pousser à la lassitude, on arrive dans un morceau d'univers, on cherche les artefacts, on parle aux gens, on trouve l'artefact puis le portail, on apprend une bribe de la trame principale puis on recommence ailleurs, puis on recommence ailleurs, puis on recommence ailleurs ; la faible difficulté de la majorité des combats enlève une grande part de challenge et on progresse presque sans saveur. Vient un autre défaut inhérent à ce principe d'espace temps fractionné c'est que l'on va visiter plusieurs le même lieu à des époques différentes, certes le contextes narratifs change mais la map est strictement identique d'une époque à l'autre seul l'apparence visuelle change - et le bestiaire - alors si au début on est grisé de voyager dans l'espace et le temps mais quand on a visiter trois les mêmes ruines, quatre fois les mêmes monts on peut se lasser ; j'avoue que ça a été mon cas.

 

Ce qui rend la réalité du jeu moins belle que ses promesses tient aussi au fait que l'on réalise assez rapidement que l'on échappe pas à la trame principale et que l'histoire à des points de passages obligatoires et que donc nos Libre Choix servent surtout aux quêtes annexes. Bien sûr il y a des fins alternatives, enfin des fins paradoxales et j'avoue que je ne les ai pas encore faites mais vu comment se termine la fin principale je doute que les fins alternatives soient crédibles, je veux dire qu'elles ne peuvent que être des éléments permettant de gonfler la durée de vie mais qu'elles ne peuvent pas réellement se poser en alternative crédible de la fin principale ; j'espère que ceux qui ont fini le jeu me comprennent et pour les autres j'espère pouvoir en parler avec vous quand vous aurez fini le jeu. D'ailleurs il faudrait parler de cette histoire parce qu'elle me laisse un goût curieux dans la bouche. J'avais expliqué qu'en jouant à FF XIII on avait l'impression pendant des heures de jouer à un interminable tutoriel et que l'histoire se mettait en place finalement très lentement mais très sûrement. Dans Final Fantasy XIII-2 c'est tout le contraire les tenants et les aboutissants du scénario sont livrés dès le départ et la fin arrive alors qu'on ne s'y attend pas réellement. Quand j'ai réalisé que j'attaquais la fin du jeu je me suis "bordel quoi ? Déjà ? Maintenant ? Mais non ça n'a pas de sens !" non pas que l'histoire n'ai ni queue ni tête mais pour moi ça n'avait de sens d'arriver à la fin de l'histoire à ce moment parce que je n'étais pas imprégné de cette histoire et de ses enjeux. Jusqu'à la séquence finale la narration ronronne, on nous donne petit à petit les détails d'une histoire que l'on suit pas à pas et qui se déroule sans surprise, sans climax, sans twist et surtout sans tension narrative, en tout moi je ne l'ai pas perçu. Il n'y a que la scène finale qui essaie de ménager une sorte de tension dramatique mais je trouve qu'elle sonne faux, la faute à Caius le grand méchant de cet épisode qui manque totalement de crédibilité avec son look de hippy gothique, j'avoue qu'à un moment j'en suis venu à douter que c'était réellement lui le méchant, non pas que le scénario à cherché à m'embrouiller mais simplement parce que je n'arrivais pas à croire qu'un personnage aussi creux et aussi tendre puisse être l'incarnation du Mal. L'ultime fin de la scène finale, qui se déroule après un combat final qui n'arrive pas à relever le niveau de la difficulté générale tente le coup du twist final mais celui qui aura bien suivi l'histoire ne sera qu'à moitié surpris, voir qu'un tiers surpris, voir pas du tout surpris.

 

C'est par son histoire et surtout par sa narration que Final Fantasy XIII-2 se montre bien en dessous de FF XIII pour moi. On peut reprocher beaucoup de choses à FF XIII mais certainement pas sa force narrative, j'ai déjà dis tout le bien que je pensais de cette expérience de narration par le game play dans ma critique. Ce qui fait que j'ai totalement adhéré c'est que si la trame de fond traite de la fin du monde et de la nécessité de sauver le monde le scénario passe par des enjeux individuels propres à chacun des six personnages. L'histoire est tenue par les forces à l'œuvre dans ce qui opposent ou attirent les personnages entre eux ; Snow et Hope, Sazh et Vanille, Snow et Lightning, Vanille et Fang etc., les points qui cristallises les tensions dramatiques à l'œuvre dans l'histoire sont présents dans le jeu et grâce à la durée on s'en imprègne totalement parce qu'ils sont en permanence là avec nous. Et pour un peu si on est doué d'empathie on prend ses enjeux à notre propre compte. Mais voilà dans Final Fantasy XIII-2 les moteurs de la tension dramatiques sont hors jeu quasiment tout le temps. Serah cherche à retrouver Lightning et Noel court après une forme d'amour perdu. Ces moteurs de la tension dramatique étant en dehors du jeu et du joueur on les suit avec un certain détachement, on est quasiment bercé par les discours des personnages qui racontent une belle histoire certes mais une histoire dont nous sommes en tant que joueur étranger. La force de FF XIII est pour moi qu'il nous fait ressentir l'histoire alors que Final Fantasy XIII-2 ne fait que la raconter. Il faut dire que Serah et Noel les deux héros manquent totalement d'empathie et je trouve de constance. Encore une fois FF XIII repose sur des personnages qui s'accrochent à des valeurs de façon extrême et radical, l'histoire de FF XIII ne tiendrait pas par exemple sans l'amour inconditionnel de Snow envers Serah. Les scènes où Hope essai de tuer Snow ou quand Vanille révèle à Saze qu'elle est responsable de la transformation de son fils sont poignantes et témoigne entre les personnages une vraie empathie et une certaines épaisseur. Avec Serah tout est différent, elle me semble aussi superficielle et dilettante qu'une gamine de 15 ans, d'ailleurs je me demande qu'elle âge elle est censée avoir. Alors qu'au début du jeu Snow a disparue en partant à la recherche de Lightning on est amené à le croiser perdu dans un univers parallèle, on a vu dans FF XIII que les développeurs étaient capables s'ils ne voulaient de nous proposer des scènes poignantes quitte à tomber dans le pathos et le larmoyant ce qui est souvent très efficace pour faire passer l'émotion. Et bien là Serah semble ne rien éprouver, qu'une vague satisfaction de pouvoir penser à autre chose. Quand elle est amené à recroiser sa sœur on pourrait aussi s'attendre à de l'émotion mais non c'est juste un peu de curiosité qu'elle témoigne. Final Fantasy XIII-2 a nettement édulcoré la dose de pathos, de dramatique et de signe ostentatoire de romantisme pour donner la sensation d'une narration plus adulte et plus sombre d'après ce que j'ai pu lire et entendre sur la toile, mais à mon sens est un échec cuisant.

 

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Avec sa trame principale ronronnante et sa difficulté en berne Final Fantasy XIII-2 pourrait sembler raté, mais le jeu regorge de qualité, de détails et de plaisirs dirons nous secondaire qui lui confère un grand plaisir de joueur. Les missions secondaires sont nombreuses, rarement très intéressantes mais elles nous amènent à voyager et a connecter époques pour résoudre une mission. Même si les map sont parfois redondantes ça ne les empêches pas d'être plus complexes que celles de FF XIII où il suffisait d'aller tout droit, ici il faudra explorer des maps parfois complexes à la recherche d'éléments vous permettant d'avancer ; on retrouve les joies de l'exploration dans un Final Fantasy. Le monde casino Fortuna permet de lancer nos chocobos dans des courses ce qui est nettement plus divertissant que les machines à sous - les prochaines DLC viendrons remplir le casino de Fortuna de nouveaux éléments - et puis le jeu regorge de petits détails que je trouve souvent très drôle ; Final Fantasy XIII-2 joue plus d'une fois la carte de l'ironie ou de l'absurde pouvant nous conduire à avoir une lecture "politique" de son scénario. Parce que dans le fond il s'agit ici d'une lutte entre la réalité institutionnelle, classique et naturelle avec des réalités alternatives aux ambitions plutôt radicale comme de faire table rase du passé pour réécrire un futur dont on se dispute pour savoir s'il sera meilleur ou non. Je n'ai pas pu m'empêche de voir dans ce scénario une métaphore d'un Final Fantasy XIII-2 qui essai de remettre le fil de l'histoire "normale" en place après qu'elle ai été perturbé par une vision alternative des choses qui serait Final Fantasy XIII. Avec cette grille de lecture les répliques des différents personnages sur telle ou telle réalité deviennent savoureuse, quand un personnage ressurgie de votre passé et vous dis qu'il est temps de mettre fin à cette fantaisie que représente un monde "parfait" et classique comme ne pas entendre Square Enix nous dire qu'il est temps pour le RPG de changer de peau ? Parce que n'oublions pas que Final Fantasy XIII-2 est quand même une réponse à Final Fantasy XIII et aux gens qui l'on critiqué. Alors amusez vous vous aussi à voir ce que Square Enix nous dit, ça rendra peut être le scénario un peu plus amusant et ça vous amènera à réfléchir bien plus que ce que l'histoire initiale propose de le faire. Si je critique le charisme des deux héros en revanche je suis tombé sous le charme de Chocolina, personnage absurde, vendeuse ambulante à travers tout l'espace temps, hybride de femme et de chocobo elle n'est jamais avare une phrase absurde ou d'un réplique drôle. Quand à la fin du jeu elle vous dit que vous allez lui manquer je ne peux pas m'empêcher de trouver ça génial. Choco-boco-lina je t'aime !

 

Pour boucler le panorama à chaud de mes impressions sur Final Fantasy XIII-2 je vais vous spoiler la fin. A la fin du jeu on acquière le pouvoir de recommencer le jeu ! Si si je ne rigole pas. Enfin vous serez libre de revenir dans le monde tel que vous l'avez laissé avec ses portails ouverts vers des mondes précis, mais vous remarquerez que beaucoup de mondes vous sont encore inaccessibles. Là deux choix, soit le jeu vous a moyennement plus et le fait qu'il se termine finalement assez vite vous convient et vous laissez tomber pour vous remettre à Moderne Warfar 3 soit vous aller utiliser votre pouvoir de réinitialiser les portails et vous aller refaire les mondes en faisant des Libre Choix différents pour accéder à d'autre morceau du jeu et aux fins paradoxale. Ce système rallonge considérablement le temps nécessaire pour terminer le jeu dans ses grandes largeurs. Ce qu'il y a de chiant parce que je trouve toujours des choses chiantes c'est que lorsque vous revenez dans un monde que vous avez réinitialisé et bien vous devez refaire le monde comme si c'était la première fois, reparler aux gens, retrouver des artefacts - rassurez vous les fragments restent acquis - et faire des choix différents pour ouvrir des portails vers des mondes que vous n'avez pas encore visité - là aussi soyez rassuré les choix que vous avez fait la première fois apparaissent en gris histoire que vous ne fassiez pas deux fois les mêmes -, vous débarquez là avec la puissance acquise le long du jeu, avec les armes, les accessoires et les monstres que vous aviez en finissant le jeu on peut donc imaginer que vous arrivez bien avec la conscience de ce que vous avez fait mais non les personnages se comportent comme si c'était la première fois qu'ils vivaient les scènes et je trouve ça chiant, surtout qu'on passe son temps à zapper les cinématiques. Bref si cette possibilité de rejouer le jeu pour explorer tous les mondes et tous les moments de l'histoire est une excellente chose on aurait pu espérer un autre moyen pour y parvenir. Parce que déjà que les combats sont faciles quand vous revenez dans un monde du début de l'aventure les combats deviennent chiants, non pas qu'ils sont subitement devenus durs, mais juste qu'ils sont tellement facile qu'on est en pleine indigence, l'affrontement dur trois ou quatre secondes et on passe plus de temps sur les écrans récapitulatifs des combats que sur les combats eux mêmes ; c'est chiant, ça hache le rythme, nous on est là pour aller à l'essentiel, du coup on s'énerve, on se frustre, en plus avec ses combats semi aléatoire on arrive pas toujours à les esquiver, bref ils ne servent à rien.

 

Avec tout ça vous avez une petite idée de ce qui m'est passé dans la tête à jouant à Final Fantasy XIII-2, un excellent jeu mais qui à mon sens n'a pas la fulgurance de Final Fantasy XIII. Final Fantasy XIII-2 renoue avec du classique, de l'exploration, de la collection de monstre, une histoire prétexte à faire jouer les gens dans des décors sublimes. Final Fantasy XIII est une fulgurance traversé de poésie et d'émotion que l'on traverse d'un trait, un trait comme un éclair, un éclaire comme lightning ; le héros de Final Fantasy XIII-2 s'appelle Noel, le jeu est brillant, parfois scintillant, consensuelle comme un réveillon de Noel et on le parcourt comme une guirlande lumineuse. Je félicite les trois ou quatre lecteurs qui ont réussi à lire mon article en entier, si vous avez réussi cela vous devriez pouvoir finir les deux Final Fantasy XIII je pense, et si c'est le cas je serai ravi d'en parler avec vous parce que le final de Final Fantasy XIII-2 soulève bien des questions et moi en attendant je vais me préparer à Final Fantasy XIII-3 ou Final Fantasy XIV ou Super Méga Final Fantasy, enfin bref à un prochain épisode. S'il ne fallait en garder qu'un des deux derniers opus je garderai à sans hésiter Final Fantasy XIII même si Final Fantasy XIII-2 est plus riche, plus profond, plus divertissant, il est aussi plus classique.

 

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